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L'activité photosynthétique d'algues d'eau douce révélée par une bactérie (Spirillum) |
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Complémentarité des métabolismes | |||||||||||||||||
TS spé | |||||||||||||||||
Observation microscopique initiale Hypothèse Validation de l'hypothèse
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Synthèse A la lumière de l'ensemble des observations réalisées et des informations fournies par les données, on peut expliquer le comportement des Bactéries Spirillum lorsqu'elles sont mises en présence d'algues vertes éclairées. Ces bactéries sont microaérophiles (ou mieux," micro-oxygénophiles"), elles nagent jusqu'à ce qu'elles soient en présence d'une concentration optimale en O2 dissous, peu élevée, mais indispensable pour qu'elles puissent oxyder leur métabolites énergétiques par la voie respiratoire. Quand O2 se raréfie dans le milieu, sa concentration optimale (pour Spirillum) se trouve au voisinage des algues car leurs chloroplastes libèrent du dioxygène, produit par la photolyse de l'eau. Les bactéries se regroupent alors près des cellules chlorophylliennes, leur magnétosensibilité rendant leur aérotactime plus efficace. Ces bactéries peuvent donc être utilisées comme des indicatrices de l'activité photosynthétique des algues. Ici, elles ont permis de reproduire une partie des expériences historiques qu'Engelmann avait réalisées avec une autre espèce (Bacterium thermo), l'autre partie (action des différentes radiations sur l'activité photosynthétique d'une algue filamenteuse) pouvant probablement également être mise en oeuvre avec un dispositif approprié (prisme...). |
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Auteur : Auclair Jean Jacques Les images ne sont libres de droits qu'à la condition d'être utilisées dans le cadre d'une classe. |
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