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Cyclose dans une cellule de feuille d'Elodea canadensis TP TS spé |
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La cellule chlorophyllienne de la feuille d'Elodée est un matériel de choix, classiquement proposé aux élèves pour l'étude de la cyclose, car les courants qui affectent son cytoplasme sont matérialisés par le déplacement de chloroplastes bien visibles au microscope. Objectifs |
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Préparation La feuille comprend 2 couches de cellules chlorophylliennes, l'assise inférieure présentant des cellules de plus grandes dimensions (voir image CT). Il faut donc monter un petit fragment de limbe dans l'eau et mettre au point sur les cellules de l'une ou l'autre assise (voir image ci-dessous). En général, la lumière émise par la lampe du microscope active la cyclose. Pour vérifier l'ATP-dépendance du phénomène, on utilise un extrait de feuille de laurier-cerise. |
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Observations |
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L'étude de la cyclose, manifestation de la dynamique cellulaire dépendant de l'ATP, peut être réalisée en utilisant d'autres supports que celui de la cellule de feuille d'Elodée, par exemple, la cellule géante des Characées (voir TP), la cellule de certains poils épidermiques (voir TP). Dans tous les cas, le processus met eu jeu un système moléculaire actine-myosine-ATP même si les modalités d'intervention du système peuvent varier. |
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Les publications (en particulier les images) ne sont libres de droits qu'à la condition d'être utilisées dans le cadre d'une classe. | ||||||||||||||||
Auteur : Auclair Jean Jacques | ||||||||||||||||
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